Tout d'abord l'immense joie d'être publié dans la prestigieuse revue Galaxies pour ma nouvelle uchronique "Quand la mécanologie dominait le monde".
Pour vous donner envie de la lire :
L’histoire
réelle
La Guerre Radicale de 1820, plus connue sous le nom d’Insurrection Ecossaise. Elle correspond à une semaine de grèves et de troubles qui ont menacé le pouvoir londonien. La révolution industrielle affaiblit les tisserands. L’économie est ralentie, les prix augmentent. Tout comme la pauvreté. On se souvient des Luddites, le progrès ne plaît pas toujours. Les machines volent les métiers des travailleurs. A Londres, le gouvernement est effrayé par un soulèvement plus important. Les Français sèment le trouble dans certains quartiers. Des espions sont envoyés en amont pour enrayer les différentes marches de grévistes et les empêcher d’envahir la capitale. Les leaders de cette courte insurrection sont exécutés avant que le schéma de la Révolution française se reproduise.
Point de divergence
La grève prend de l’ampleur. La révolte gronde. La « guerre » dure six mois au lieu d’une semaine. Les écossais sont réduits au silence au moyen de gaz prussique largué par des engins volants. Pour assurer son indépendance, Edimbourg reprend son ancien nom, Auld Reekie. Des bombes incendiaires écossaises détruisent le centre historique de Londres. Victoria, née le 24 mai 1819, est brûlée dès son plus jeune âge. Elle ne sera pas reine. Un autre pouvoir s’installe. Une autre économie. Une science nouvelle, dédiée au progrès.
Bienvenue à NewLondon !